la fixation d'une lame tranchante à l'ergot du coq dernières préparations de chaque coq avant l'entrée dans l'arène agitation et vacarme des parieurs clamant leurs mises et indiquant leur favori
excitation des coqs par leurs propriétaires par présentation de l'adversaire et arrachage de plumes du cou. début des hostilités avec le bec au cœur de l'arène combat à mort qui s'est achevé du fait d'un coup d'ergot droit au cœur le vaincu est dépouillé pour finir au pot !
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C'est une telle passion pour les Balinais qu'ils sont tolérés malgré l'interdiction des paris d'argent en Indonésie. Les propriétaires et amateurs y jouent des sommes colossales après la sélection des protagonistes faite d'échange de compliments et d'évaluation de la bravoure de chaque coq. Les parieurs font vibrer la salle par leurs appels répétitifs pendant qu'une lame tranchante est fixée à l'ergot et les coqs montés l'un contre l'autre et stimulés. Ensuite, ça part comme un éclair, avec des éclats de plume, des envols, des coups de bec, et les exclamations de la foule. Quand les adversaires se fuient, le gong sonne et la deuxième reprise s'ensuit. En cas de refus de combat, ils sont placés sous un panier, et la lutte à mort continue. Soudain, l'un des deux tremble, titube et tombe, et le propriétaire du vainqueur se le fera préparer pour son dîner !
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