Notre camping à Byron Bay
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" C'est à la cool là, un pti déj en terrace face à la mer ", dit GuillaumeL. En effet, nous mangeons un pti déj copieux puis roulons jusqu'à 20h pour rejoindre Byron Bay et y trouver un endroit pour dormir. Nous traversons des paysages aux couleurs aussi contrastées que l'est ce pays : champs de canne à sucre verts sur une terre rouge, ciel noir de fortes pluies au-dessus de terres éclairées par un soleil écrasant, cours d'eau à la robe sombre entourés de végétation riche. Les petites villes que nous passons nous font penser à celles des USA et la conduite est aussi détendue que là-bas. En contournant Brisbane, nous repassons sur un immense pont au-dessus d'une rivière et apercevons les gratte-ciel d'une ville qui a connu une forte croissance. Nous passons des coups de fil à tous les hôtels indiqués dans le Lonely Planet, mais tout est complet : Byron Bay est assiégée par 30 à 40 mille personnes pour le nouvel an. Cela est confirmé quand nous cherchons en ville, donc nous allons au camping et installons nos tentes, soulagés que la forte averse que nous avions traversée soit terminée et que le sol sableux soit déjà sec. A la lumière des phares, nous installons efficacement notre campement, puis allons dîner en ville. De nombreux endroits ont déjà fermé leur cuisine, et nous finissons par aller dans un restaurant indien où le chef accepte de rouvrir. Le dîner bien copieux fini, la serveuse nous explique combien la ville est pleine, et qu'il faut prendre des billets " tout compris " pour pouvoir bénéficier d'une entrée dans les bars avec dîner. Dehors, les rues se sont quelque peu désemplies, ce qui est moins le cas du camping toujours très animé, sur 75 acres.
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